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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 15:53

Ci-après quelques liens vers des spots de prévention diffusés par la HALDE.Cliquez sur link pour accéder aux spots.

 

halde-affiche.gif

 

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 17:02

Ci- après un extrait du JT de France 3 en 1998, pour les 150 ans de l'abolition de l'esclavage, qui revient sur la traite depuis le port de Nantes. Vous remarquerez notamment les images du quartier de l'île Feydeau vues en classe. L'historien interviewé, Olivier Petré-Grenouilleau, est un spécialiste très reconnu sur  cette question.

 

 

 

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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 22:12

Ci-après la très bonne émission Le dessous des cartes concernant l'Italie.

Les 4 premières minutes reviennent sur le processus qui a conduit à unifier le pays

 

Le reste de l'émission, quoi qu'un peu daté, peut servir pour la géographie

 

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 16:34

Ci-après retrouvez un exemple de carte sur l'organisation des Midis.

 

Attention certains éléments de votre carte sont différents, car vous n'avez pas toujours choisi les mêmes figurés que moi.

Vous devez donc faire correspondre votre légende à votre carte. En revanche pour les couleurs des secteurs agricoles pas de changements.

 

 

carte des midis

 

Légende carte des midis 1

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 11:10

Ci-après un site officiel pour s'entraîner aux épreuves de l'ASSR

 

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 19:13

Ci-après un article et la carte du projet Grand Paris Express, "fusion" du projet Grand Paris et du projet Arc Express étudiés en classe.

 

Grand-paris-express-fevrier-2011.jpg

 

Le 26 janvier 2011, l’Etat et la Région ont annoncé qu’un accord avait été trouvé sur les projets de transports franciliens. Grand Paris Express, ainsi que s’appelle désormais le projet, est basé sur une fusion du projet Arc Express avec celui du Réseau de transport du Grand Paris. «Cet accord est le résultat de plusieurs volontés. Celle de la Région, celle de l’Etat, celle des collectivités et celle des usagers des transports», a expliqué Jean-Paul Huchon, président de la Région Ile-de-France.


La fusion de deux projets. 
Cet accord est intervenu à quelques jours de la fin (le 31 janvier 2011) des débats publics menés conjointement sur le Réseau de transport du Grand Paris, conçu par l'Etat, et le projet Arc Express, soutenu par la Région Ile-de-France, les départements franciliens et nombre de communes d'Ile-de-France, dont la Ville du Kremlin-Bicêtre.


Un projet qui répond aux besoins des Franciliens
 Grand Paris Express reprend le principe d’une rocade en petite couronne, qui était proposée dans le projet Arc Express, maillée avec l’ensemble du réseau existant. Création d’une double rocade à l’est, désaturation de la ligne 13, prolongement d’Éole à l’ouest qui permettra de relier la gare Haussmann-Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie en passant par La Défense, et amélioration de la desserte des aéroports sont également inclus dans le protocole d’accord. La modernisation du réseau existant, en particulier des RER, est également prise en compte. Comme l'a souligné Jean-Luc Laurent, maire du Kremlin-Bicêtre et conseiller régional délégué au Grand Paris, «il ne faut pas que les projets à long terme empêchent la réalisation rapide de projets visant à améliorer la qualité des transports».

 

Journal gratuit Metro, janvier 2011

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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 15:10

Un article du journal Le Monde concernant une tribue amazonienne, filmée pour la première fois.

 

 

Le scénario pourrait faire penser à un remake d'Avatar, le film de James Cameron au succès planétaire. Une tribu d'indiens isolés, chassé par les forestiers illégaux du Pérou font route vers le Brésil, dans la région de la rivière Envira, près de la frontière entre les deux pays. Cette branche qui ferait partie de la tribu Mashco-Piro fuit le danger que représentent les exploitants.

 

Selon Jose Mereilles, le directeur du département des affaires indigènes brésilien (la FUNAI) qui a organisé le survol de la forêt, accompagné pour la première fois d'une équipe de la BBC, le but n'était pas d'entrer en contact physiquement avec eux, mais d'établir la preuve de leur existence. Outre la violence, explique-t-il " de simples virus comme la grippe peuvent les tuer et même décimer un groupe entier ".

 

Sur les images, les indiens recouverts de peinture rouge, extraite d'arbres, les roucouyers, regardent passer les avions. Selon le spécialiste brésilien, ils vivraient de la chasse, du manioc, des papayes et des bananes notamment. En 2008, des premières images d'autres individus de cette tribu avaient été montrées. "Si les bûcherons clandestins ou les mineurs illégaux étaient en contact avec eux, ils ne les filmeraient pas, ils les abattraient ", commente Jose Mereilles.

Pour les protéger, Survival International organise une campagne d'explication et l'actrice Gilian Anderson, la " Dana Scully " de la célèbre série " X Files ", a prêté sa voix pour le commentaire du film présenté à la télévision anglaise dans une version longue par BBC 1 jeudi soir 3 février.

 

Depuis la mise en ligne, lundi sur le site de Survival, des nouvelles images de cette expédition, des dizaines de milliers de connexions ont été recensées. Un nouveau site réservé aux indiens isolés a été lancé et une courte vidéo de cette tribu, extraite du film de la BBC, a été mise en ligne. " L'impact de la campagne est important, explique Sophie Baillon, de Survival France. Le ministère des affaires étrangères péruvien qui refusait de reconnaître l'existence de ces tribus isolées a annoncé, dans un communiqué le 2 février, " établir des contacts avec la FUNAI … pour protéger ces peuples et éviter l'incursion de bûcherons illégaux et la déprédation de l'Amazonie". "Les tribus d'indiens isolés sont souvent des rescapés de massacres dus à l'exploitation de la forêt, du boom du caoutchouc au 19e siècle à aujourd'hui, notamment avec la recherche du bois précieux, le mahogany, un acajou rouge ", explique Survival International. Mais " isolées " ne signifie pas que ces tribus ne puissent pas en être contact les unes avec les autres, comme le prouverait l'image d'une casserole en émail sur l'une des photos. " Ils font du troc entre eux mais ils seraient menacés de mort par un contact direct avec nous ", dit encore Sophie Baillon.

 

Sur les 3 à 400 individus que devaient compter la tribu des Akuntsu il y a plusieurs dizaines d'années, dans une autre partie de la forêt amazonienne, seuls cinq individus subsistent. Selon Survival, une cinquantaine de tribus isolées vivraient dans la forêt amazonienne, au Brésil, de 10 à 14 au Pérou. Dans le monde, elles pourraient être une centaine.

 

Rémi Barroux

LEMONDE.FR | 05.02.11 | 14h46

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 18:31

Une autre façon de considérer l'histoire de la Révolution

Ci-après des extraits d'un texte de Pierre Serna, historien de la Révolution, qui critique le texte de Jean Tulard.

 

Il estime que " ce n’est pas la Révolution française qui permet de comprendre ce qui se passe aujourd’hui, ni même les autres révolutions du passé : c’est ce qui se passe en Tunisie qui éclaire le passé"

 

Les Tunisiens ne sont pas en 1789 ! ou impossible n’est pas tunisien.

 

par Pierre Serna, le 03 février 2011, comité de vigilance face aux usages publics de l'histoire

 

 

       Non la Tunisie n’est pas en 1789 ! Par pitié que l’on cesse d’instrumentaliser l’Histoire en mesurant l’histoire du monde à l’aune de l’histoire de France (…) Les tunisiens auraient 220 ans de retard sur l’histoire de France et découvriraient enfin les vertus de la liberté conquise. Eh bien non ! La liberté n’est acquise pour nul peuple, et à leur façon les français doivent lutter pied à pied pour leurs anciennes conquêtes en ces temps de recul systématique du pacte républicain. C’est nous qui devons apprendre des Tunisiens et non l’inverse. Nous sommes restés dans un 1789 mental, mythifié et figé. Les Tunisiens eux sont bien en 2011 ! (…)

 

Mais quelle mouche a piqué les rédacteurs du Monde pour aller interroger un spécialiste de l’Empire afin de commenter une Révolution naissante ? Quel sens donner à cette initiative ? Le futur de la Tunisie n’est pas lié aux décisions des militaires ou d’un Etat-Major, comme cela est sous entendu dans l’entretien. Le futur de la Tunisie, se jouera de façon complexe, parfois chaotique, avec le peuple, non construit comme entité abstraite et piège de toutes les révolutions, mais vu comme addition concrète des espoirs de toutes celles et de tous ceux qui, descendus dans la rue et pris séparément, constituent les forces collectives de ce pays en révolte d’abord (pendant quelques semaines), en révolution ensuite (combien de jours ?), puis en transition (combien d’années ?) comme dans toutes les révolutions. Alors dans dix, ou vingt ans, voire 80 ans —temps nécessaire aux anglais, aux américains ou aux français pour stabiliser leurs processus révolutionnaires —, on l’oublie trop souvent. Alors seulement, nous saisirons l’importance de ce qui vient de se passer en Tunisie : une révolution (…)

 

Ce que nous apprennent les Tunisiens, — nous laissant quelque peu sidérés et pour le moins admiratifs —, c’est qu’une Révolution est possible. Que n’a –t-on dit, en France, sur la révolution : objet froid, dépassé, (…) depuis 1977, date de la parution de l’ouvrage de F. Furet « Penser la Révolution », qui remettait violemment en cause le catéchisme républicain et la mythographie d’une Révolution française terminée, finie. Avec cette affirmation l’idée de révolution était discréditée, stigmatisée. La révolution, monde de violence, devait être désormais à éradiquer dans le futur. La réforme du libéralisme plutôt que la révolution épouvantable et forcément déviée par les totalitarismes en tous genres était sans cesse mise en avant. Nous sommes transis, timorés, rendus peureux par la crise. La révolution est devenue un objet congelé, à étudier avec les lunettes des historiens, et surtout à ne pas imaginer de façon quelconque dans l’actualité (…) Les Tunisiens viennent de montrer de façon remarquable que l’histoire fragmentée, et chaque fois différente de la Révolution, n’est pas terminée (…)

 

Autre chose s’est joué en Tunisie : un événement fascinant pour l’historien de la révolution : « le gentil peuple » peut agir et peut inverser une histoire de sa soumission déjà programmée au nom d’une realpolitik entérinée par les puissances occidentales. La peur a été retournée et c’est là une leçon à bien méditer pour les historiens de 1789, de 1791, 1793 et 1799 : ce n’est pas les populations prises collectivement qui ont peur lorsque les crises sociales engendrent une extrême tension : ce sont les gouvernants. Il faut entièrement retourner la façon de faire de l’histoire de Jean Tulard : ce n’est pas la Révolution française qui permet de comprendre ce qui se passe aujourd’hui, ni même les autres révolutions du passé : c’est ce qui se passe en Tunisie qui éclaire le passé (…)

 

Les Tunisiens viennent de donner une leçon d’histoire, ils poursuivent leur propre histoire. Ils ne sont pas en 1789 mais bien en 2011, et construisent, en miroir, les questions que nous devons nous poser en France sur le devenir des idéaux d’égalité, de fraternité, et de liberté républicaines. Impossible n’était pas français, il n’est désormais plus tunisien.


Pierre Serna est Directeur de l’Institut d’Histoire de la Révolution Française, Professeur à l’Université de Paris I.

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 17:14

Quoi de mieux pour réviser la révolution française que de suivre une révolution au jour le jour ?

 

Ci-après une interview de Jean Tulard, historien, spécialiste de la Révolution française et des révolutions en général. Toutes les étapes de la révolution française étudiées en classe sont évoquées dans cet article du journal Le Monde. 

 


Jean Tulard : "L'an 1789 de la révolution tunisienne"

revolution-tunisie-manifestation-devant-le-ministere-de.jpgManifestation devant le ministère de l'intérieur, à Tunis, vendredi matin 14 janvier, avant le départ de Zine El-Abidine Ben Ali.AFP/FETHI BELAID


LEMONDE.FR | 18.01.11 | 18h03  •  Mis à jour le 19.01.11 | 12h55

 

En un mois de soulèvement, le peuple tunisien a obtenu la chute du régime de Zine El-Abidine Ben Ali. S'agit-il d'une révolution ?


Nous sommes en ce moment même dans une phase charnière du soulèvement tunisien. De simple révolte, ce mouvement est en train de devenir une révolution. Une révolte est un acte spontané, qui naît d'une indignation, d'un ras-le-bol, d'un accès de désespoir. Elle est généralement anarchique, sans chef, sans mot d'ordre, et limitée localement. Autant de caractéristiques qui correspondent parfaitement au cas tunisien, au moins dans ses débuts. La révolution, elle, prône un changement radical d'hommes, d'institutions, de façon de penser. Pour prendre l'exemple de la Révolution française, le soulèvement était prévisible et ses objectifs connus : égalité, à travers l'abolition des privilèges, suppression des droits féodaux qui pesaient sur les paysans, fin de la monarchie absolue. Le modèle tunisien ne correspond pas à ce schéma, puisqu'il a débuté et perduré sans leader ni assise idéologique. Mais il suit une trajectoire parallèle à celle de la Révolution française qui rend les deux événements assez comparables. La Révolution est elle aussi passée par une phase d'émeutes avant de pénétrer les esprits d'une part plus importante de la population, comme le 14 juillet 1789 ou le 10 août 1792. Des émeutes de la faim et du chômage, comme en Tunisie.


Une révolte peut donc engendrer une révolution. Pour cela, il faut que les exaspérations de départ trouvent un écho avec des aspirations plus profondes concernant l'ensemble du pays, et non plus un territoire limité. C'est ce qui s'est passé à l'été 1789, quand les paysans français, sans bien comprendre ce qui se passait à Paris, se sont armés et ont pris d'assaut les châteaux des nobles. C'est aussi ce qui s'est passé en Tunisie, ou la révolte a commencé à Sidi Bouzid, loin de la capitale, avant d'essaimer dans tout le pays.


C'est d'ailleurs bien cette distinction entre révolte et révolution qui explique les atermoiements des dirigeants français. Jusqu'à la mi-janvier, on pensait encore avoir affaire à de simples émeutes de la faim, à une révolte limitée. Or, il est facile de mettre fin à une révolte : soit le pouvoir réprime, soit il répond favorablement aux revendications. Arrêter une révolution, c'est une tout autre affaire...

 

Si l'on suit ce parallèle entre le renversement du régime Ben Ali et la Révolution française, cette dernière peut sans doute livrer des enseignements pour l'avenir de la Tunisie...


Pour filer la comparaison, la Tunisie est sans doute en train de vivre l'année 1789 de sa révolution – qui correspond, pour la France, à la mise en place d'une Assemblée nationale constituante encore dominée par les nobles. L'heure est, en 1789 comme aujourd'hui en Tunisie, à l'enthousiasme, aux espoirs de réforme les plus fous.
Mais les révolutionnaires français ont vite déchanté : dès le début, la Révolution a dû faire face à une situation économique désastreuse et affronter les réactions des autres pays, tout comme les voisins de la Tunisie vont peut-être tenter d'étouffer un mouvement qui les menace. Sans oublier les luttes de clan, qui font que la révolution rebondit en soubresauts parfois sanglants : Montagnards contre Girondins autrefois, islamistes contre progressistes aujourd'hui.


En France, ces soubresauts n'ont pris fin qu'avec le coup d'Etat napoléonien du 18-Brumaire et la mise en place d'un régime dictatorial. Mais loin de moi l'idée de prédire un tel avenir à la Tunisie : je suis historien, pas politologue, et il serait abusif de vouloir calquer des situations très différentes.


La seule constante dans l'histoire des révolutions est le rôle primordial joué par l'armée. Après l'épisode Cromwell, en Angleterre, c'est le général Monk qui rétablit Charles II. Et j'ai déjà parlé de la Révolution française, qui s'achève réellement avec le coup d'Etat de Bonaparte. Il faut surveiller très attentivement ce que va faire l'armée tunisienne.


Vous dites que le soulèvement tunisien a démarré sans assise idéologique ni leader. Comment, dans ce contexte, expliquer son succès ?


On a déjà vu de tels cas de figure dans l'histoire. La révolution anglaise au XVIIe siècle ou la chute des démocraties populaires d'Europe de l'Est, à partir de 1989, se sont bâties sur des exaspérations plus que sur des programmes clairs et définis. Dans ces cas comme dans le cas tunisien, la révolte a pu se transformer en révolution parce que l'on avait affaire à des régimes déconsidérés, délégitimés. Quand le régime est fort, la révolte ne peut pas se transformer en révolution, elle est écrasée. C'est bien là l'erreur d'appréciation qu'ont commise aussi bien Ben Ali que les gouvernements occidentaux : ils ont cru le régime plus solide et ancré qu'il ne l'était réellement.


Les cadres de l'ancien régime semblent prêts à rester en place. Une révolution peut-elle réussir sans exclure les élites du régime précédent ?


Oui, cela n'a rien d'exceptionnel. La Révolution française a beau avoir inventé la Terreur, elle a aussi eu ses "girouettes". Sous la Révolution et dans les années qui ont suivi, certains fonctionnaires ont prêté jusqu'à quinze serments. L'exemple du lieutenant-général Henry en est le symbole : chef de la police sous l'Ancien Régime, il était toujours en place au moment de la Restauration. Pendant l'épuration, en 1944, la plupart des fonctionnaires sont restés à leur poste.
Vous ne pouvez pas remplacer rapidement des hommes qui ont des compétences techniques précises. C'est particulièrement valable pour les techniciens.


Et qu'en est-il des dirigeants plus haut placés ? Une révolution peut-elle se contenter de voir partir l'ancien dirigeant en exil, comme c'est le cas pour M. Ben Ali ?


C'est vrai que le jugement puis la mise à mort du dirigeant déchu sont le symbole le plus fort des révolutions. Charles Ier est décapité, Louis XVI guillotiné, Nicolas II fusillé, Ceaucescu mitraillé...
La France a d'ailleurs sans doute refusé d'accueillir Ben Ali pour ne pas se retrouver ensuite avec une demande d'extradition embarrassante. Ceci dit, les mœurs politiques ont évolué, les changements de régime sont aujourd'hui moins sanglants que par le passé.

 

Le nouveau gouvernement a annoncé la tenue d'élections d'ici à six mois. A-t-on déjà vu une révolution déboucher sur une transition démocratique pacifique sans passer par des périodes de troubles et de violence ?
La révolution des œillets, au Portugal, est peut-être le seul exemple d'une passation de pouvoir en douceur. De façon générale, les troubles et la violence sont la norme, sans parler des règlements de compte.
Mais je ne suis pas pour autant inquiet pour la Tunisie. Le peuple tunisien me paraît assez peu porté sur les émeutes sanglantes et la violence.


Propos recueillis par Benoît Vitkine

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 14:03

Fiche révision Géographie de la France. Partie 1

À la fin de ce chapitre je suis capable de :
-localiser les mers et océans entourant la France
-localiser les pays voisins de la France
-localiser les fleuves et principaux massifs montagneux en France
-d'expliquer en 10 lignes minimum  pourquoi la France est considérée comme un carrefour stratégique en Europe.
-connaître les différents climats en France
-D'expliquer ce qu'est une contrainte et un atout
-connaître  et expliquer en une ligne les différents types de risques en France

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